Ce que j’ai ressenti durant ma la première voyance audiotel

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Je m’appelle Émilie, j’ai 24 ans et je me perçois infirmière en clinique amphi. Mon quotidien est couramment rythmé par des périodes de creux décalés, du stress, et notamment une haute relation psychique. Être à l’écoute des patients, des familles, cela vient extraordinairement sportif, mais parfois on s’oublie un peu. Et dans mon cas, je m’étais admirablement oubliée. J’étais dans voyance olivier un instant difficile, entre empoisonnement brillante, questionnements sur ma les liens de famille, et une rapide impression d’être perdue. Ce n’était pas de la désagrément riche, mais relativement une variété de flou qui ne voulait pas dégager. J’en ai parlé à personne. Pas à ma clan, ni à mes collègues. Je ne voulais pas aimer les indications performants, je les reconnaissais déjà par cœur. Ce qu’il me fallait, c’était un regard neuf, un avis extérieur. Et c’est là que j’ai réfléchi à la voyance audiotel. C’était un soir de semaine. Je venais de adapter une garde de nuit relativement dure. Une patiente m’avait parlé de son expérience avec un cartomancien par téléphone. Sur le coup, je m’étais dit “bof, on a pas pour moi”. Mais dans l’état où j’étais ce soir-là, je me suis dit : pourquoi pas tester ? Juste une fois.